On y découvre la face cachée des startups et des “wanabee startups”: ce qui se cache derrière la novlangue et la table de baby-foot de l'entreprise. Les “smileys” qui ponctuent chaque courriel, le narcissisme du CEO qui est toujours sur Facebook, l'impossibilité de travailler efficacement dans un “open-space”, la hiérarchie plate (“flat-hierarchy”)... tout ça pour finalement ne pas aboutir à grand chose...