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Une écriture féministe qui fait nous réfléchir sur le poids du masculin dans la langue française. J'ai moins accroché à l'intrigue, excepté cette dernière pirouette lorsque Pétronus réécrit les premières pages de l'essai que nous avons entre les mains avec la grammaire patriarcale que nous connaissons (où le masculin l'emporte donc) !
Bravo à Jean-Baptiste Coursaud pour cette traduction, je ne connais pas le norvégien mais trouver et inventer des équivalents tout en restant fidèle au texte d'origine représente une véritable gageure. Surtout merci à l'autrice Gerd Brantenberg pour cette idée de satyre fantastique !