Nithou
Un court texte en hommage à un ami disparu qui a marqué l'adolescence de l'auteur. Ayant perdu quelques amis au long des années ce livre m'a pas mal touché et je m'y suis retrouvé dans plusieurs passages. Seul bémol, les attaques gratuites de l'auteur par rapport à la gauche.
Tel le ciment, la jeunesse sèche vite et les empreintes accidentelles qu’elle aura reçues deviendront des cicatrices.
Un court texte en hommage à un ami disparu qui a marqué l'adolescence de l'auteur. Ayant perdu quelques amis au long des années ce livre m'a pas mal touché et je m'y suis retrouvé dans plusieurs passages. Seul bémol, les attaques gratuites de l'auteur par rapport à la gauche.
Tel le ciment, la jeunesse sèche vite et les empreintes accidentelles qu’elle aura reçues deviendront des cicatrices.
J'avais préféré Radical du même auteur, celui ci tenait au final plus du pamphlet politique que d'un roman. Si le message et le prisme à travers lequel la prostitution et la pornographie étaient très intéressant par rapport à l'hypocrisie de l'époque, l'histoire en elle même manquait au final de force et l'on s'attachait peu aux personnages que je trouvais finalement peu crédibles, trop détachés.
Tu crois vraiment qu’après tout ce que j’ai traversé, je vais me contenter d’un salaire de merde, qui en soi est peut-être très bien par rapport à la moyenne, mais qui ne correspond plus du tout au coût réel de la vie en région parisienne ! Le jour où on proposera des rémunérations en adéquation avec le prix des loyers, de l’immobilier, de la bouffe, de la carte de transport, alors je réfléchirai à ta proposition, je t’assure… Mais là, je dirais que ce serait de la prostitution de me vendre pour aussi peu… compte tenu de ce que je gagne.
J'avais préféré Radical du même auteur, celui ci tenait au final plus du pamphlet politique que d'un roman. Si le message et le prisme à travers lequel la prostitution et la pornographie étaient très intéressant par rapport à l'hypocrisie de l'époque, l'histoire en elle même manquait au final de force et l'on s'attachait peu aux personnages que je trouvais finalement peu crédibles, trop détachés.
Tu crois vraiment qu’après tout ce que j’ai traversé, je vais me contenter d’un salaire de merde, qui en soi est peut-être très bien par rapport à la moyenne, mais qui ne correspond plus du tout au coût réel de la vie en région parisienne ! Le jour où on proposera des rémunérations en adéquation avec le prix des loyers, de l’immobilier, de la bouffe, de la carte de transport, alors je réfléchirai à ta proposition, je t’assure… Mais là, je dirais que ce serait de la prostitution de me vendre pour aussi peu… compte tenu de ce que je gagne.
Kinda loved this one, found it very modern despite its age. A tale of refusing to face one self and chasing a dream, something that seem to still exist so much in nowadays gay world. While it was a bit depressing sometimes, I found the story interesting, digging into Jim's character and hopes while still living "in the flow".
Since they did not understand one another, each was able to sustain an illusion about the other, which was the usual beginning of love, if not truth.
Kinda loved this one, found it very modern despite its age. A tale of refusing to face one self and chasing a dream, something that seem to still exist so much in nowadays gay world. While it was a bit depressing sometimes, I found the story interesting, digging into Jim's character and hopes while still living "in the flow".
Since they did not understand one another, each was able to sustain an illusion about the other, which was the usual beginning of love, if not truth.
J'avoue ne pas avoir été très convaincu par cet essai, d'une part par l'échantillon que j'ai trouvé assez réduit et d'autre part par le peu de solutions proposées au final par les différents problèmes soulevés. Cet essai traite au final plus des problèmes de masculinité toxique que du désir masculin. Il a cependant le mérite de ne pas être anti-porno et d'aller un peu plus loin dans ses interrogations.
La masculinité blanche est rarement questionnée « dans un monde qui ne la voit pas parce qu’il est structuré par et pour elle
J'avoue ne pas avoir été très convaincu par cet essai, d'une part par l'échantillon que j'ai trouvé assez réduit et d'autre part par le peu de solutions proposées au final par les différents problèmes soulevés. Cet essai traite au final plus des problèmes de masculinité toxique que du désir masculin. Il a cependant le mérite de ne pas être anti-porno et d'aller un peu plus loin dans ses interrogations.
La masculinité blanche est rarement questionnée « dans un monde qui ne la voit pas parce qu’il est structuré par et pour elle
As our jobs demand more and more from us while also expecting us to also act cheerfully, when our scopes are widening by the day and our teams shrinking and we're supposed to Love Our Job™ (add to that the AI takeover), this essay is vital and really important in reframing exactly what is a job and how the discourse change around it changed over the last decades while our working conditions kept on being destroyed.
As long as our well-being depends on income, and income, for most, depends on work, love will always be secondary as a motivation for doing it. Encouraging workers to pretend otherwise is disingenuous and exploitative.
As our jobs demand more and more from us while also expecting us to also act cheerfully, when our scopes are widening by the day and our teams shrinking and we're supposed to Love Our Job™ (add to that the AI takeover), this essay is vital and really important in reframing exactly what is a job and how the discourse change around it changed over the last decades while our working conditions kept on being destroyed.
As long as our well-being depends on income, and income, for most, depends on work, love will always be secondary as a motivation for doing it. Encouraging workers to pretend otherwise is disingenuous and exploitative.
Liked this one. Things start to get really interesting with Murderbot especially has he's going back to his first team. The tension was quite heavy and I had a really hard time letting go of the book so I scarified some sleeping time just to finish it!
Liked this one. Things start to get really interesting with Murderbot especially has he's going back to his first team. The tension was quite heavy and I had a really hard time letting go of the book so I scarified some sleeping time just to finish it!
Liked this one. Things start to get really interesting with Murderbot especially has he's going back to his first team. The tension was quite heavy and I had a really hard time letting go of the book so I scarified some sleeping time just to finish it!
Liked this one. Things start to get really interesting with Murderbot especially has he's going back to his first team. The tension was quite heavy and I had a really hard time letting go of the book so I scarified some sleeping time just to finish it!
A nice anthology of queer Arab writers talking about their experience, their culture, encounters with white saviors, ... Most of them were really interesting, giving great cultural insights on Arab queer lives and perceptions. I learned quite a lot and saw several faults I did myself when interacting with queer Arab previously so this will help me be better.
A nice anthology of queer Arab writers talking about their experience, their culture, encounters with white saviors, ... Most of them were really interesting, giving great cultural insights on Arab queer lives and perceptions. I learned quite a lot and saw several faults I did myself when interacting with queer Arab previously so this will help me be better.
Mon premier Baptiste Beaulieu, et je l'ai trouvé chargé d'une poésie magnifique et d'une humanité bouleversante. Une gallerie de rencontres, de parcours de vie extrêmement durs, envie de prendre tous ces gens dans les bras pour tenter d'apporter ne serait-ce que quelques secondes de réconfort. J'ai été profondément ému et remué par ces quelques pages.
"Les larmes, c'est un truc inutile contre la mort, mais qu'on n'a jamais cessé d'essayer quand même. "
Mon premier Baptiste Beaulieu, et je l'ai trouvé chargé d'une poésie magnifique et d'une humanité bouleversante. Une gallerie de rencontres, de parcours de vie extrêmement durs, envie de prendre tous ces gens dans les bras pour tenter d'apporter ne serait-ce que quelques secondes de réconfort. J'ai été profondément ému et remué par ces quelques pages.
"Les larmes, c'est un truc inutile contre la mort, mais qu'on n'a jamais cessé d'essayer quand même. "
Un essai très puissant et juste sur cette lente bascule d'une bonne partie des homosexuels vers la droite (voir carrément l'extrême droite). L'écriture de Didier Lestrade est extrêmement fluide et percutante, il ne mâche pas ses mots et met la communauté (et la république française) face à ses travers et contradiction, n'hésitant pas à mettre plusieurs personnaltiés au pied du mur face à leurs agissements. Une voix nécessaire depuis des années, mais encore plus à notre époque je trouve. Ce livre m'a ouvert les yeux sur pas mal de choses que je voyais se dérouler sans vraiment en comprendre les tenants et aboutissants.
Enfin, la Gay Pride entre dans son « âge bête » : elle ne parvient pas à créer des mots d’ordre qui dépassent les bonnes intentions et surtout elle n’exerce aucune pression politique alors que son cortège est la plus grande manifestation de rue du pays (plus de 500 000 personnes chaque année. En termes d’investissement politique, la Gay Pride est une opération « blanche ».
Un essai très puissant et juste sur cette lente bascule d'une bonne partie des homosexuels vers la droite (voir carrément l'extrême droite). L'écriture de Didier Lestrade est extrêmement fluide et percutante, il ne mâche pas ses mots et met la communauté (et la république française) face à ses travers et contradiction, n'hésitant pas à mettre plusieurs personnaltiés au pied du mur face à leurs agissements. Une voix nécessaire depuis des années, mais encore plus à notre époque je trouve. Ce livre m'a ouvert les yeux sur pas mal de choses que je voyais se dérouler sans vraiment en comprendre les tenants et aboutissants.
Enfin, la Gay Pride entre dans son « âge bête » : elle ne parvient pas à créer des mots d’ordre qui dépassent les bonnes intentions et surtout elle n’exerce aucune pression politique alors que son cortège est la plus grande manifestation de rue du pays (plus de 500 000 personnes chaque année. En termes d’investissement politique, la Gay Pride est une opération « blanche ».
Je ne me rappelle plus qui m'avait conseillé ce livre, mais je dois admettre qu'il était simplement extrêmement mauvais et, de mon point de vue, très mal équilibré entre hommes et femmes avec 80% des recommendations à l'adresse des femmes. Et je ne suis pas sexologue, mais l'ensemble m'a paru profondément sexiste et vieillot.
Je ne me rappelle plus qui m'avait conseillé ce livre, mais je dois admettre qu'il était simplement extrêmement mauvais et, de mon point de vue, très mal équilibré entre hommes et femmes avec 80% des recommendations à l'adresse des femmes. Et je ne suis pas sexologue, mais l'ensemble m'a paru profondément sexiste et vieillot.