

Venant de voir la musical j'avais absolument envie de découvrir le roman qui lui a donné naissance (et qui prenait la poussière sur mon étagère depuis quelques années ahem).
Je savais que Wicked était beaucoup plus sombre que Le Magicien d'Oz et que la musical restait elle aussi “grand public”. J'avoue que je ne m'attendais pas à autant de noirceur. Le règne du magicien est une représentation parfaite d'un régime fasciste où le racisme se fait de plus en plus présent, accepté peu à peu par tout le monde sans broncher (pour ne pas trop “déranger”). Le livre démontre aussi les ravages de l'époque car même dans les contrées où le fascisme ne règne pas il montre son influence sur les mentalités et la façon dont il contamine et fait germer ses préjugés de manière insidieuse.
Elphaba est beaucoup plus torturée et incertaine, prise dans de grandes considérations ontologiques sur la nature du bien et du mal. Au final la magie est peu présente, utilisée par petites touches et beaucoup des éléments expliqués dans la musical ne trouvent pas d'explications dans le récit, livrés tels quels, ce qui a tendance à laisser un peu sur sa faim.
Je pense que c'est cela qui me fait hésiter entre 3 et 4 étoiles. Bien que l'histoire soit très intéressante et nous fait découvrir une très sombre facette du pays d'Oz, elle s'avère extrêmement complexe et dense, s'égarant parfois dans de longs passages délirants assez difficiles à appréhender.
J'ai apprécié que les personnages ne soient pas manichéens, plein de questionnements, de doutes, de pensées et d'agissements contradictoires. Malheureusement l'ensemble laisse vraiment l'impression d'une énorme pelote d'intrigues extrêmement dure à démêler et à suivre.
Il reste plusieurs livres dans la série, je pense prendre le temps de digérer celui ci avant de décider si je continue ou pas!
“Quand l'époque est un creuset, quand l'air vibre de violence, les victimes sont ceux qui restent le plus eux-mêmes.”
Venant de voir la musical j'avais absolument envie de découvrir le roman qui lui a donné naissance (et qui prenait la poussière sur mon étagère depuis quelques années ahem).
Je savais que Wicked était beaucoup plus sombre que Le Magicien d'Oz et que la musical restait elle aussi “grand public”. J'avoue que je ne m'attendais pas à autant de noirceur. Le règne du magicien est une représentation parfaite d'un régime fasciste où le racisme se fait de plus en plus présent, accepté peu à peu par tout le monde sans broncher (pour ne pas trop “déranger”). Le livre démontre aussi les ravages de l'époque car même dans les contrées où le fascisme ne règne pas il montre son influence sur les mentalités et la façon dont il contamine et fait germer ses préjugés de manière insidieuse.
Elphaba est beaucoup plus torturée et incertaine, prise dans de grandes considérations ontologiques sur la nature du bien et du mal. Au final la magie est peu présente, utilisée par petites touches et beaucoup des éléments expliqués dans la musical ne trouvent pas d'explications dans le récit, livrés tels quels, ce qui a tendance à laisser un peu sur sa faim.
Je pense que c'est cela qui me fait hésiter entre 3 et 4 étoiles. Bien que l'histoire soit très intéressante et nous fait découvrir une très sombre facette du pays d'Oz, elle s'avère extrêmement complexe et dense, s'égarant parfois dans de longs passages délirants assez difficiles à appréhender.
J'ai apprécié que les personnages ne soient pas manichéens, plein de questionnements, de doutes, de pensées et d'agissements contradictoires. Malheureusement l'ensemble laisse vraiment l'impression d'une énorme pelote d'intrigues extrêmement dure à démêler et à suivre.
Il reste plusieurs livres dans la série, je pense prendre le temps de digérer celui ci avant de décider si je continue ou pas!
“Quand l'époque est un creuset, quand l'air vibre de violence, les victimes sont ceux qui restent le plus eux-mêmes.”

Un ensemble d'histoires assez courtes sur la vie au sein d'un lotissement afro-américain et le fait de grandir en se découvrant homosexuel. Aucun misérabilisme, juste le réel dans toute sa diversité. J'ai beaucoup aimé la galerie de personnages que l'on croise, les vies qui se nouent et se dénouent ainsi que le regard de l'auteur sur ces moments de vie assez unique. Certains passages sont durs à suivre car écrits comme un flux de pensée, mais dans l'ensemble j'ai assez aimé ce recueil.
–
A collection of fairly short stories about life in an African-American lot and growing up discovering oneself as a gay man. No miserabilism, just reality in all its diversity. I really liked the gallery of characters that we meet, the lives that are tied up and untied as well as the author's view of these unique moments in life. Some parts are hard to follow because they are written as a flow of thoughts, but overall I enjoyed this collection.
Un ensemble d'histoires assez courtes sur la vie au sein d'un lotissement afro-américain et le fait de grandir en se découvrant homosexuel. Aucun misérabilisme, juste le réel dans toute sa diversité. J'ai beaucoup aimé la galerie de personnages que l'on croise, les vies qui se nouent et se dénouent ainsi que le regard de l'auteur sur ces moments de vie assez unique. Certains passages sont durs à suivre car écrits comme un flux de pensée, mais dans l'ensemble j'ai assez aimé ce recueil.
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A collection of fairly short stories about life in an African-American lot and growing up discovering oneself as a gay man. No miserabilism, just reality in all its diversity. I really liked the gallery of characters that we meet, the lives that are tied up and untied as well as the author's view of these unique moments in life. Some parts are hard to follow because they are written as a flow of thoughts, but overall I enjoyed this collection.

J'avais beaucoup aimé La valse aux adieux et L'insoutenable légereté de l'être, j'ai par contre eu beaucoup de mal avec ce livre. On y croise une série de personnages, mêlant vécu de l'auteur et fiction, faits historiques et vies personnelles dans un ensemble assez chaotique. Je n'y ai pas trouvé la magie habituelle, tournant chaque page en espérant qu'elle survienne, en vain.
J'avais beaucoup aimé La valse aux adieux et L'insoutenable légereté de l'être, j'ai par contre eu beaucoup de mal avec ce livre. On y croise une série de personnages, mêlant vécu de l'auteur et fiction, faits historiques et vies personnelles dans un ensemble assez chaotique. Je n'y ai pas trouvé la magie habituelle, tournant chaque page en espérant qu'elle survienne, en vain.

Lu d'une traite en une soirée, Vestiaire de l'Enfance est un récit étrange. Un homme perdu dans une ville sans identité suit une jeune fille qui semble lui rappeler quelqu'un sans qu'il n'arrive vraiment à mettre le doigt sur qui.
Le récit suit le narrateur pendant quelques jours, ses interrogations, ses tranches de vie, sa tentative d'échapper à la vie “d'avant”. On n'apprend au final que très peu d'éléments, assistant simplement à cette tranche de vie et ces interrogations, mais d'une manière extrêmement prenante et intrigante.
Lu d'une traite en une soirée, Vestiaire de l'Enfance est un récit étrange. Un homme perdu dans une ville sans identité suit une jeune fille qui semble lui rappeler quelqu'un sans qu'il n'arrive vraiment à mettre le doigt sur qui.
Le récit suit le narrateur pendant quelques jours, ses interrogations, ses tranches de vie, sa tentative d'échapper à la vie “d'avant”. On n'apprend au final que très peu d'éléments, assistant simplement à cette tranche de vie et ces interrogations, mais d'une manière extrêmement prenante et intrigante.

Malgré un début extrêmement prometteur qui m'a beaucoup rappelé certains romans de Barjavel, Lovestar s'enfonce malheureusement dans son propre récit et rate totalement sa fin jusqu'à en devenir incompréhensible. Vraiment dommage car j'ai trouvé le livre génial la première moitié.
Malgré un début extrêmement prometteur qui m'a beaucoup rappelé certains romans de Barjavel, Lovestar s'enfonce malheureusement dans son propre récit et rate totalement sa fin jusqu'à en devenir incompréhensible. Vraiment dommage car j'ai trouvé le livre génial la première moitié.

Je vais poser cette critique au niveau du premier tome, après avoir terminé les six car pour moi il s'agit vraiment d'une oeuvre dans son entiereté. L'arabe du futur nous raconte l'enfance de Riad Sattouf, entre France et pays arabes, brinquebalés par son père en quête de gloire et de reconnaissance. On y voit la vie dans ces différents pays à des moments charnières assez importants à travers les yeux d'un enfant grandissant.
Le style graphique est assez unique, l'auteur utilisant les couleurs pour différencier les endroits traversés. La narration est intéressante, car à travers les yeux d'un enfant on apprend beaucoup, on le voit grandir, se développer s'interroger. La bande dessinée n'hésite pas à montrer le réel avec par exemple des passages montrant un antisémitisme très fort inculqué dès la prime jeunesse, ainsi qu'une omniprésence assez écrasante de la religion qui, peu présente au début, finit par s'insinuer dans la vie de cette famille et tout détruire. L'auteur n'hésite pas à cingler aussi le racisme ordinaire en France, les petites moqueries du quotidien, ... sans jamais en faire une source d'apitoiement.
J'ai vraiment adoré ces 6 tomes que j'ai lu d'une traite tellement ils sont denses et fourmillent d'histoires et de détails. En refermant le sixième j'ai enfin compris tout l'engouement qu'il y avait autour de cette oeuvre qui le mérite amplement!
Je vais poser cette critique au niveau du premier tome, après avoir terminé les six car pour moi il s'agit vraiment d'une oeuvre dans son entiereté. L'arabe du futur nous raconte l'enfance de Riad Sattouf, entre France et pays arabes, brinquebalés par son père en quête de gloire et de reconnaissance. On y voit la vie dans ces différents pays à des moments charnières assez importants à travers les yeux d'un enfant grandissant.
Le style graphique est assez unique, l'auteur utilisant les couleurs pour différencier les endroits traversés. La narration est intéressante, car à travers les yeux d'un enfant on apprend beaucoup, on le voit grandir, se développer s'interroger. La bande dessinée n'hésite pas à montrer le réel avec par exemple des passages montrant un antisémitisme très fort inculqué dès la prime jeunesse, ainsi qu'une omniprésence assez écrasante de la religion qui, peu présente au début, finit par s'insinuer dans la vie de cette famille et tout détruire. L'auteur n'hésite pas à cingler aussi le racisme ordinaire en France, les petites moqueries du quotidien, ... sans jamais en faire une source d'apitoiement.
J'ai vraiment adoré ces 6 tomes que j'ai lu d'une traite tellement ils sont denses et fourmillent d'histoires et de détails. En refermant le sixième j'ai enfin compris tout l'engouement qu'il y avait autour de cette oeuvre qui le mérite amplement!

J'ai eu un peu de mal avec ce roman. Si l'histoire d'amour peut être touchante et qu'on y trouve de très belles phrases il souffre pour moi de “trop” de belles phrases et de tournures allant chercher le style au delà de la forme et de l'émotion. Le style de l'auteur a fini par peu à peu me désinteresser de cette histoire d'amour éclatée en morceaux malgré sa beauté.
J'ai eu un peu de mal avec ce roman. Si l'histoire d'amour peut être touchante et qu'on y trouve de très belles phrases il souffre pour moi de “trop” de belles phrases et de tournures allant chercher le style au delà de la forme et de l'émotion. Le style de l'auteur a fini par peu à peu me désinteresser de cette histoire d'amour éclatée en morceaux malgré sa beauté.

J'ai trouvé l'univers de ce livre très intéressant, un monde assez unique où le temps ne s'écoule pas de la même façon selon où l'on se trouve, une magie qui imprègne tout avec une profondeur relative selon l'emplacement aussi, ... Pourtant je n'ai pas réussi à accrocher à l'histoire, trop pris dans du pathos à plusieurs moments, j'ai eu beaucoup de mal à suivre le fil conducteur et comprendre où le récit voulait en venir. La fin m'a fortement déçu, arrivant de manière assez étrange et mal construite, trop précipitée. Dommage car l'univers semblait vraiment intéressant.
J'ai trouvé l'univers de ce livre très intéressant, un monde assez unique où le temps ne s'écoule pas de la même façon selon où l'on se trouve, une magie qui imprègne tout avec une profondeur relative selon l'emplacement aussi, ... Pourtant je n'ai pas réussi à accrocher à l'histoire, trop pris dans du pathos à plusieurs moments, j'ai eu beaucoup de mal à suivre le fil conducteur et comprendre où le récit voulait en venir. La fin m'a fortement déçu, arrivant de manière assez étrange et mal construite, trop précipitée. Dommage car l'univers semblait vraiment intéressant.

Wow une belle claque qui nous emmène à la découverte d'une culture insulaire cannibale. Entre mysticisme et symbolique rappelant les aztèques, j'ai vraiment eu du mal à lâcher ce roman. J'ai de plus été très souvent surpris par la tournure que prenaient les événements, un récit vraiment plein d'inattendus.
Wow une belle claque qui nous emmène à la découverte d'une culture insulaire cannibale. Entre mysticisme et symbolique rappelant les aztèques, j'ai vraiment eu du mal à lâcher ce roman. J'ai de plus été très souvent surpris par la tournure que prenaient les événements, un récit vraiment plein d'inattendus.

Un roman tout en douceur mais plein de surprises. On s'attache très vite au personnage de Violette qui arrive à faire sa vie malgré les nombreuses embûches et à continuer à trouver du plaisir dans son quotidien atypique. Les pages filent à toute vitesse grâce à cette narratrice chaleureuse et courageuse, et l'on finit par refermer ce livre en s'essuyant les quelques larmes qu'il nous a fait verser, mais sur un beau sourire.
Un roman tout en douceur mais plein de surprises. On s'attache très vite au personnage de Violette qui arrive à faire sa vie malgré les nombreuses embûches et à continuer à trouver du plaisir dans son quotidien atypique. Les pages filent à toute vitesse grâce à cette narratrice chaleureuse et courageuse, et l'on finit par refermer ce livre en s'essuyant les quelques larmes qu'il nous a fait verser, mais sur un beau sourire.

Le récit d’un été de fin d’adolescence et de passage à l’âge adulte. On comprend les poètes de vie qui s’en vont, les tragédies qui se nouent et l’évolution lente mais sûre du personnage principal. J’ai eu pas mal de mal à accrocher au début mais on finit par laisser le roman nous emmener dans ce bout de chemin que parcours Daniel.
Le récit d’un été de fin d’adolescence et de passage à l’âge adulte. On comprend les poètes de vie qui s’en vont, les tragédies qui se nouent et l’évolution lente mais sûre du personnage principal. J’ai eu pas mal de mal à accrocher au début mais on finit par laisser le roman nous emmener dans ce bout de chemin que parcours Daniel.

Un matin Lubin se réveille et réalise peu à peu qu’il n’a aucun souvenir de la journée d’avant, persuadé d’être lundi. Peu à peu il réalise qu’il partage son corps avec un autre…
Cela faisait un petit temps que cette bande dessinée était dans ma wishlist et j’ai fini par craquer, je n’ai pas été déçu du tout. L’histoire est très bien maîtrisée, même si l’on reste avec ses questions, on ressent énormément d’émotion et d’empathie pour le personnage principal et le drame qu’il traverse. Le tout servi par un superbe trait bien maîtrisé, je recommande!
Un matin Lubin se réveille et réalise peu à peu qu’il n’a aucun souvenir de la journée d’avant, persuadé d’être lundi. Peu à peu il réalise qu’il partage son corps avec un autre…
Cela faisait un petit temps que cette bande dessinée était dans ma wishlist et j’ai fini par craquer, je n’ai pas été déçu du tout. L’histoire est très bien maîtrisée, même si l’on reste avec ses questions, on ressent énormément d’émotion et d’empathie pour le personnage principal et le drame qu’il traverse. Le tout servi par un superbe trait bien maîtrisé, je recommande!

J'hésite un peu sur ce premier roman de Panayotis Pascot. Si j'y ai trouvé de très beaux moments, il m'a aussi rendu l'être humain peut être un peu moins appréciable, alors qu'il me faisait comprendre d'autres un peu mieux, dans l'attitude compliquée face à l'acceptation de son homosexualité. Le rapport au père était très touchant, on comprend la difficulté de tisser un vrai lien entre les deux, un certain rapport à la masculinité qui empêche d'exprimer ce que l'on ressent et ce qu'on voudrait dire. Le roman est parsemé de très belles phrases, mais l'ensemble fait un peu fouilli. On passe un bon moment, mais assez fragmenté en soit.
J'hésite un peu sur ce premier roman de Panayotis Pascot. Si j'y ai trouvé de très beaux moments, il m'a aussi rendu l'être humain peut être un peu moins appréciable, alors qu'il me faisait comprendre d'autres un peu mieux, dans l'attitude compliquée face à l'acceptation de son homosexualité. Le rapport au père était très touchant, on comprend la difficulté de tisser un vrai lien entre les deux, un certain rapport à la masculinité qui empêche d'exprimer ce que l'on ressent et ce qu'on voudrait dire. Le roman est parsemé de très belles phrases, mais l'ensemble fait un peu fouilli. On passe un bon moment, mais assez fragmenté en soit.

Un magnifique roman d'amour, d'amitié, d'occasions manquées et d'entêtement sur fond de guerre d'Algérie, le tout de nouveau magnifiquement écrit. J'ai été touché par énormément de passage, enragé par d'autres mais vraiment conquis de bout en bout par ce récit et ce personnage principal pris en étau entre ses promesses et ses élans.
Un magnifique roman d'amour, d'amitié, d'occasions manquées et d'entêtement sur fond de guerre d'Algérie, le tout de nouveau magnifiquement écrit. J'ai été touché par énormément de passage, enragé par d'autres mais vraiment conquis de bout en bout par ce récit et ce personnage principal pris en étau entre ses promesses et ses élans.

I don’t remember how this book arrived in my pile but it was a great read! I’m surprised because it’s quite old now but stays still so relevant about many parts especially the impact of divorce on one’s life’s.
Its depiction of New York of the 20s is bright and filled with a lot of alcohol consumption, but each character is really rich and you get deeply attached to Patricia and the way she handles her life.
I don’t remember how this book arrived in my pile but it was a great read! I’m surprised because it’s quite old now but stays still so relevant about many parts especially the impact of divorce on one’s life’s.
Its depiction of New York of the 20s is bright and filled with a lot of alcohol consumption, but each character is really rich and you get deeply attached to Patricia and the way she handles her life.

Un très beau roman sur la découverte de l'amour, l'adolescence et tristement l'impact et la violence du harcèlement scolaire face à la violence, l'homophobie, la différence. Tour à tour émerveillé par cet amour naissant et terrifié par la cruauté qu'il attire. J'ai eu un peu de mal à démarrer ce livre pour ensuite ne plus réussir à le lâcher et finir en larmes à la dernière page.
"La jeunesse peut être une guerre silencieuse, un champ de bataille où des enfants d’à peine quinze ans sont capables de tuer à bout portant leurs camarades. Et cela, sous les yeux des adultes qui sont censés les protéger."
Un très beau roman sur la découverte de l'amour, l'adolescence et tristement l'impact et la violence du harcèlement scolaire face à la violence, l'homophobie, la différence. Tour à tour émerveillé par cet amour naissant et terrifié par la cruauté qu'il attire. J'ai eu un peu de mal à démarrer ce livre pour ensuite ne plus réussir à le lâcher et finir en larmes à la dernière page.
"La jeunesse peut être une guerre silencieuse, un champ de bataille où des enfants d’à peine quinze ans sont capables de tuer à bout portant leurs camarades. Et cela, sous les yeux des adultes qui sont censés les protéger."

Didn't really appreciated this read, I don't know if it was the French translation or the author's writing, but I didn't like the way the story was told. To be honest a lot of it would have felt more logical inside an essay than into this fiction form. I found that everything surrounding the ideas was both useless and badly written and at the end didn't served the ideas that well.
I can understand the appeal, but to me this book was lacking on several parts besides the writings. There was a part about French yellow jackets presenting them as ecological warrior that felt totally wrong (as the movement emerged to fight oil price increase), and also a solution based on blockchain without too much thinking about the energy cost of the technology that looked a bit like a tech venture fever dream.
Some parts and ideas were good and I discovered a lot of initiatives and possibilities for our future, which gave me a bit of hope, but this book didn't feel as ground-breaking as the hype make it seems.
Didn't really appreciated this read, I don't know if it was the French translation or the author's writing, but I didn't like the way the story was told. To be honest a lot of it would have felt more logical inside an essay than into this fiction form. I found that everything surrounding the ideas was both useless and badly written and at the end didn't served the ideas that well.
I can understand the appeal, but to me this book was lacking on several parts besides the writings. There was a part about French yellow jackets presenting them as ecological warrior that felt totally wrong (as the movement emerged to fight oil price increase), and also a solution based on blockchain without too much thinking about the energy cost of the technology that looked a bit like a tech venture fever dream.
Some parts and ideas were good and I discovered a lot of initiatives and possibilities for our future, which gave me a bit of hope, but this book didn't feel as ground-breaking as the hype make it seems.

J'ai dévoré ce premier roman de Fanny Ruwet, y retrouvant son humour, beaucoup de parcelles d'elle déjà évoquées dans une forme d'auto-fiction mais aussi beaucoup de ses traits d'humour découverts à travers les spectacles. C'est peut être là le seul reproche que j'ai à faire à ce livre, c'est d'y retrouver beaucoup des punchlines utilisées en chroniques ou spectacles. On passe cependant un très bon moment et j'ai bien rigolé en lisant les notes de bas de page. Bref, pour un premier roman c'est une réussite!
J'ai dévoré ce premier roman de Fanny Ruwet, y retrouvant son humour, beaucoup de parcelles d'elle déjà évoquées dans une forme d'auto-fiction mais aussi beaucoup de ses traits d'humour découverts à travers les spectacles. C'est peut être là le seul reproche que j'ai à faire à ce livre, c'est d'y retrouver beaucoup des punchlines utilisées en chroniques ou spectacles. On passe cependant un très bon moment et j'ai bien rigolé en lisant les notes de bas de page. Bref, pour un premier roman c'est une réussite!

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I'm not sure what I was expecting from this book, it felt more like an inspirational piece than something to truly help you resist the attention economy. Still I found it interesting in some parts, but found a lot of platitudes in it too.
It felt very "artsy" with a lot of new year vibes but gave some (even few) interesting advices on how to approach our world, our relationship to others and to our environment.
The migrating birds return each year, for now anyway, and I have not yet been reduced to an algorithm
I'm not sure what I was expecting from this book, it felt more like an inspirational piece than something to truly help you resist the attention economy. Still I found it interesting in some parts, but found a lot of platitudes in it too.
It felt very "artsy" with a lot of new year vibes but gave some (even few) interesting advices on how to approach our world, our relationship to others and to our environment.
The migrating birds return each year, for now anyway, and I have not yet been reduced to an algorithm