Ratings1
Average rating4
Reviews with the most likes.
Je suis en vacances depuis un peu plus d'une semaine sur la côte basque, et après avoir terminé le très bon premier roman Rue du Triomphe de Dov Hoenig, j'ai trouvé le roman idéal pour accompagner la suite de mon séjour : Georges, le monde et moi que j'ai eu l'occasion de lire en service de presse par l'intermédiaire de NetGalley.fr.
Le résume ne paye pas de mine mais je sentais que ça pouvait bien me plaire :
Avant, je me serais décrit comme le mec de base : des notes dans la moyenne, une famille aimante, un petit groupe d'amis. Avant, j'étais l'archétype du geek qui termine avec la jolie fille à la fin d'un film. Bref, j'avais une vie banale.
Et puis Georges a débarqué, avec son franc-parler et ses blagues pourries, et tout a changé. Mon monde s'est désaxé. Clairement, je n'allais pas finir avec la jolie fille.
J'aurais bien voulu ne pas m'inquiéter, être le genre de types qui vivent au jour le jour, mais ce n'est pas moi. Il faut toujours que j'analyse tout. Toutes les possibilités, toutes les variantes. Et comme si ça ne suffisait pas, j'angoisse pour chacune d'elles. Si bien qu'une fois qu'on fait le calcul, il en résulte énormément d'anxiété.
J'ai passé la main dans mes cheveux pour m'occuper et essayer de dissimuler au mieux mon malaise. Je n'avais pas l'habitude d'être appelé « le mec plutôt mignon » par un autre homme. En fait, même les filles ne le disaient pas.